Mademoiselle

D’habitude j’arrive à sortir un peu plus tôt pour éviter la
cohue, mais là je me suis fait piéger et je me retrouve dans le
métro à 18 h 30 ! C’est la lutte muette pour un minimum d’espace
vital. Et j’ai presque toute la ligne 13 à remonter !
     Je me retrouve très vite poussé vers le fond dans un coin,
près de la porte. Je suis pressé contre les hanches d’une dame
assez forte qui est en grande discussion avec probablement une de
ses collègues. Bavardes comme des pies ! Derrière elles, dans le
coin une fillette est accrochée à l’imper d’une des deux bavardes
contre laquelle la masse compacte des autres voyageurs me presse.
La gamine de dix huit ans, est dos à la porte, face à moi
dans le dos de sa mère. Mignonne blondinette avec des couettes
qui me regarde d’en bas, inquiète de ne pas se faire écraser. Je
lui fais un sourire et je la rassure
« Ne t’inquiètes pas ma puce ! Je me tiens bien et je vais faire
attention de ne pas t’écraser »
     La mère tourne la tête vers moi :
« Merci monsieur ! Vous êtes bien gentil ! »
     Puis à sa fille :
«  Tu vois Muriel, le monsieur est gentil et il fait bien
attention à toi ; ne bouges pas ! »
     Dans les 10 secondes qui suivent elle a déjà repris le fil
de sa conversation.
Je baisse les yeux vers la petite Muriel, je lui souris et elle
me gratifie en retour d’un joli sourire.
     Je me tiens à la barre de la main gauche et je m’appuie
contre la porte de la main droite pour bien me stabiliser et lui
faire un rempart de mon corps.
Au premier virage un peu rapide, la petite s’accroche à moi d’une
main, à hauteur de ma ceinture. Elle lève vers moi un regard
interrogateur pour savoir si ça me gêne. Je lui réponds par un
sourire rassurant.
     Arrêt ; bousculades derrière nous mais je maintiens la
position.
Muriel est maintenant tout contre moi, les mains posées sur le
haut de mes cuisses.
Redémarrage du train, secousses, instabilité, Muriel se raccroche
à moi… à hauteur de ma braguette ! Je baisse les yeux vers elle
et elle me fait un sourire complice, comme une gamine qui vient
de faire une bêtise que je serais seul à avoir vu !! Ses yeux
pétillent de malice… mais sa main reste là où elle est : appuyée
sur mon sexe à travers le pantalon !
     Je fais comme si de rien n’étais, mais cet abruti se
réveille lui ! Dans la minute qui suit, je commence à bander ! Je
ferme les yeux, essaye de penser à autre chose… Rien à faire ! Le
« monstre » se tend sous les doigts de la fillette…
Muriel me regarde droit dans les yeux en faisant une «
grimace-sourire » de connivence.
De toute évidence elle a très bien compris ce qui se passe et ça
a l’air de lui plaire.
Elle me palpe du bout des doigts tout en me regardant de son
petit air mutin.
     Que puis-je faire ? Lui dire « arrêtes de me toucher la bite
? »…
J’imagine la révolution dans le wagon !!! Alors je ne dis rien et
je ne bouge pas…
     Prenant mon silence et mon sourire niais pour une
autorisation, la petite s’enhardit, elle me caresse carrément le
sexe pour en déterminer les contours grandissants.
Sûrement impressionnée par les dimensions de ce qu’elle manipule
maintenant sans retenue, elle me regarde avec des yeux
écarquillés et une moue exprimant sa surprise.
Elle n’arrêtes pas pour autant ses manipulations !
     Nouvel arrêt, nouveaux mouvements de foule, je ne bouge pas
d’un centimètre, trop désireux de voir jusqu’où elle va continuer
et très inquiet de voir comment les choses pourraient tourner.
     Redémarrage. Cette fois-ci, Muriel est fermement accrochée à
ma bite de ses deux mains !
     Sa mère ne s’intéresse pas une seconde à ce qui se passe
derrière elle ! Heureusement, mon bras gauche, levé pour
s’accrocher à la barre, relève en même temps le pan de mon imper,
faisant ainsi une sorte de paravent contre les regards
indiscrets.
Cet avantage ne semble pas avoir échappé à Muriel qui s’enhardit
de plus en plus et me frotte de façon indécente de ses deux
mimines sur toute la longueur de ma masculinité.
Je bande tellement fort, que je ne sais pas comment je vais
pouvoir me sortir de là !
     Je jette quelques regards affolés de droite et de gauche,
mais tout le monde s’en fout ! Personne ne se doute de ce qui se
passe à 70 cms du sol !!
Je rebaisse les yeux vers Muriel qui soutient mon regard d’un air
coquin et pervers.
Ses yeux semblent me dire «  je sais que tu ne vas rien dire et
je sais que ça te plait !! ».
Je suis confondu par tant de perversité dans une frimousse aussi
adorable !! On lui donnerait le Bon Dieu sans confession !
     Je commence à penser que ce n’est pas la première fois
qu’elle touche un sexe d’homme et qu’elle apprécie son pouvoir
sur un si beau jouet vivant.
     Comme pour confirmer mes pensées, elle a saisi entre pouce
index la tirette de ma fermeture « éclair » et, tout en me fixant
droit dans les yeux, elle descend doucement l’ouverture de ma
braguette !!
     Mon Dieu !! Je crois que je vais éjaculer dans la seconde !
Puis une menotte se glisse dans le passage ainsi dégagé et se
lance à la recherche du bâton chaud qu’elle convoite…La petite
main se glisse dans les plis des tissus, trouve facilement
l’entrée de mon caleçon… Je retiens mon souffle à l’instant où
ses doigts établissent le contact avec ma bite !!! Je ne suis
plus conscient de rien sinon de cette menotte qui caresse ma
chair… elle trouve mon gland et en caresse les contours du bout
des doigts avant de m’empoigner sans vergogne… Elle me branle
doucement ! Maladroitement, certes ! Mais elle me masturbe !!
Elle a maintenant le regard fixé sur ce qu’elle fait, les yeux
grands ouverts, un sourire ineffable éclaire son minois d’enfant
sage.
Je ne vais pas tenir longtemps !!! Je serre les dents pour me
retenir…
     Elle a réussi à sortir juste le bout qui dépasse à peine de
l’ouverture de mon pantalon, Ses yeux sont rivés dessus et son
sourire prouve que je ne suis pas le seul à prendre du plaisir.
     C’en est trop !! La vision de cette gamine me branlant au
milieu de cette foule me pousse à abandonner la lutte et
j’explose !!!! Je jouis tellement fort que j’en ai mal dans les
bourses !! Un jet s’écrase par terre, un autre sur mon pantalon
et le reste dans la menotte qui me manipule sans vergogne. Au
moment où je jouis, ma main droite agrippe par réflexe les
petites fesses de la gamine, je les pétris sans même réfléchir.
Loin de se dérober, elle se prête à mes caresses en tendant son
petit cul.
     Dix secondes après, je commence à reprendre mes sens et
regarde Muriel. Elle soutient mon regard en souriant, très
satisfaite d’elle-même, et là, je crois éjaculer une deuxième
fois !
     La petite salope a « rangé » ma bite dans mon pantalon (sans
refermer ma braguette !), elle essuie sa main sur mon pantalon,
porte sa menotte pleine de sperme à sa bouche et entreprend de la
nettoyer en la léchant. Elle me fixe avec un petit sourire de
Sainte Nitouche !!!

     Pas un mot ! Juste un sourire et un regard complice de
jubilation perverse !
Je suis abasourdi, étourdi, perdu… mais (oh combien !) satisfait
!!!  Jamais dans mes songes les plus fous…

     Je profite d’un mouvement de foule pour refermer
discrètement ma braguette.
Muriel est serrée tout contre moi, elle me sourit encore avec un
air mutin. Pour un spectateur non averti, elle passerait pour un
adorable petit ange. Elle est si mignonne avec ses couettes !!!
     Je regarde autour de nous, personne ne s’est aperçu de rien.
Deux stations plus loin, sa mère se retourne et lui attrape la
main :
« Allez ! Viens Muriel, on descend à la prochaine ! » Puis après
quelques secondes :
« Mais qu’est-ce que t’as fait ? T’as la main toute collante ! »
     Mon cœur s’est arrêté de battre …
Sans se démonter Muriel lui rétorque :
« Ben oui ! C’est les bonbons de tout à l’heure !... »
     Je manque d’éclater de rire devant tant de culot et de
duplicité !!
En descendant, Muriel se retourne et me fait un clin d’œil …

Evidemment, j’ai loupé ma station !!...

La suite ici...

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Dim 7 fév 2010 Aucun commentaire